kawah2 a écrit : ↑dim. 12 nov. 2017 11:14
bruno7.0 a écrit : ↑dim. 12 nov. 2017 10:58
Kawah2 J’ai rectifié ! Moi et l’orthographe avant 10 h on n’est pas copain !
J’suis pas copain avec ChrisBZH non plus après 10 h
Par contre je te remercie Spoogue j’ai noté !
pas grave, on voit souvent ce qu'en et quand, c'est pas toujours facile de résister, là j'ai pas pu
ChrisBZH a raison, y a pas une histoire de serviettes et autres à ne pas mélanger?
pour Spoogue, tout a fait, je sais que perso j'y passerais aussi un jour (pas trop proche j’espère) quand ils feront quelque chose qui me plaira, esthétiquement et techniquement. actuellement c'est pas du toutle cas, je les trouve tous épouvantables
J’ai entamé cette réponse y’a près de 3 h et puis d’un coup, coupure de courant, pas sur mon vélo mais générale d’Engie ! Tout mon beau discourt disparut dans les nuages… Alors je reprends !
Tu n’es quand même pas de ceux qui choisissent leur vélo en fonction de sa couleur et qui assortissent le casque, les gants, les chaussettes, etc. en fonction des teintes de leur Bike, ou bien ? Tu choisi ton vtt en fonction de sa mécanique, de sa géométrie pour qu’il colle à ta pratique, Non ?
Et bien une fois assis sur ton eBike tu n’as plus le temps de le regarder, tu ne vois plus ni la batterie ni le moteur, ça va beaucoup trop vite. Je ne veux convertir ni toi, ni Chris, ni tous les autres sportifs de ce forum, juste leurs transmettre mon expérience. Je suis passé cet été, d’un Scott Spark 40 tout beau, gris argenté noir, une ligne pure, sans verrues, assorti à mon short et T-shirt, à un Haibike Sduro 8.0 noir orange bof, en promo, à crédit ! C.R de ma première sortie début juillet :
Les premiers kilomètres en léger faux plat m’ont permis de me familiariser avec les shifters, la commande de tige de selle (faut que j’recule un peu la selle) et effectuer quelques réglages de rebonds des suspensions et puis... ça commence à monter…
Incroyable comment ça monte ! Moteur silencieux, changement des rapports, vitesses et assistance, en souplesse ! J’ai même tendance à me laisser emporter par la fréquence de pédalage, à en perdre mon souffle, faut que je me calme… Relax !
Le chemin est assez large, cela me laisse le temps pour oublier son look et de me poser la question : vais-je oser redescendre par l’autre chemin beaucoup plus étroit et raide avec cette machine qui me parait énorme, lourde avec ses gros boudins ? Les seules expériences que j’ai alors d’un VTTAE c’est avec un KTM (essai dans les vignes autour de MARLENHEIM) et un HAIBIKE Hard Live (celui de ma compagne).
Au diable le rodage des plaquettes je me lance dans la descente… 40, 45, 52 km/h je touche à peine les leviers de frein, ça bouge pas, ça passe sur les racines, les cailloux, le sable, les bosses, les trous… c’est infernal !
Avec mon ancien VTT, à cet endroit, j’étais balloté dans tous les sens, là pas d’un iota !
Un pousse au crime cet engin !
J’étais HEUREUX !
Avant, rien que le fait de s’habiller en parfait vététiste, de remplir le Camel back et d’appréhender dans mon esprit les montées à gravir, j’étais déjà fatigué ! Aujourd’hui, rien que de penser aux raidillons qui m’attendent j’ai le cœur qui palpite de bonheur, heureusement je n’ai pas encore de pacemaker !
Quant ’à l’autonomie aucun soucis, on s’y habitue vite à gérer. Justement cet été au Pays Basque du côté de la Rhune 34 km 1300 D+ et récemment derrière chez moi 60 km 1255 D+ jamais à sec, moi si !
