Aikispad a écrit : ↑jeu. 29 mars 2018 23:52
juste une question avec tous les articles négatifs parus dans la presse ces derniers temps ne serait-il pas judicieux de faire paraitre ce genre de reponses dans la presse ?
C'est une option mais cela risque de crisper encore plus nos contradicteurs qui manifestement ont plus d'influence sur les élus que nous autres vététistes. Je rappele au passage qu'on est bien placé pour constater que les vététistes sont beaucoup moins mobilisables que les bénévoles (certes retraités pour beaucoup) du Club Vosgien.
Aikispad a écrit : ↑jeu. 29 mars 2018 23:52Sinon plutôt que de taper à la porte des communes qui ne veulent absolument pas ouvrir une quelqonque collaboration, travailler plus activement avec celles qui le souhaitent afin de demontrer par des faits l'interet de la collaboration entre les 2 parties?
Le problème sur le secteur Thur Doller c'est qu'on les cherche encore les communes qui souhaitent collaborer car beaucoup sont sous l'influence d'une théorie de "bon sens", ancienne, savamment martelé par les sections locales du C.V, les vététistes "cassent les sentiers".
Jean-Luc et David entreprennent un travail délicat d'implantation dans ce secteur particulièrement difficile. Je pense qu'ils ont besoin d'être plus soutenu par les vététistes locaux, les clubs et les associations pour pouvoir peser.
Concernant un éventuel problème d'étiquette, je trouve fort de café que des élus et/ou des membres des Clubs Vosgiens anti-VTT fassent le reproche à la MBF de tenter d'agir et de communiquer. Car justement, eux ne se privent pas de communiquer contre le VTT et de nous faire en même temps le reproche d'un désintérêt par rapport à l'entretien des sentiers.
Le véritable problème, c'est qu'on tente de changer l'ordre établi : des vieux bénévoles (au moins par l'esprit) , qui pensent régner sur un monopole, qui causent à des vieux élus, ces derniers étant souvent partis pris dans le débat (randonneur, chasseur, propriétaire ou exploitant...). On le fait avec tact et diplomatie sans oublier de mettre les vététistes fassent à leurs responsabilités. Et c'est cela qui agace.
Si on faisait plus simplement la promotion exclusive de 5 sentiers dédiés VTT dans les espaces dont les autres ne veulent pas, on aurait certainement beaucoup moins d'opposition virulente. Mais c'est un projet très limité, qui ne convient pas à tous les vététistes et qui prend à contre pied notre projet associatif : défendre notre liberté de circuler.
Et face aux intransigeants, je pose volontiers une exigence supplémentaire : si tout le monde veut réellement défendre la faune et la flore
avant sa pomme, là où les vététistes sont interdits, les piétons doivent l'être également. Voilà qui fera hurler ceux qui veulent nous cantonner.