Dès le départ, la montée par la route donne le ton pour les prochaines heures. Il y a 1700 m de dénivelé à avaler d'un traite… sur 13 km. Faites le calcul sachant qu'il y a des parties plates et même des petites descentes.
David qui apprend à épeler le mot souffrance en suisse allemand
N'oubliez pas que les photos aplatissent le terrain
Les 11 premiers km se font sur le vélo (avec des bonnes jambes et l'envie de se faire un peu mal) alors que, pour les derniers, le portage est obligatoire. Sa mère ça monte fort ! Quand la pente s'adoucit à 8% on a l'impression d'être sur du plat. C'est pas la race donc on prend notre temps et on fait des pauses fréquentes.
Les points d'eau sont fréquents
Heureusement le décors est superbe. Des alpage énormes, des barres rocheuses, le tout avec une vue quasi constante sur le lac et les montagnes en face !
A la montée on croise souvent le train à crémaillère qui fait la navette depuis Brienz vers le Rothorn Kulm
Les pentes qu'il prend sont impressionnantes. C'est pas le TGV qui ferait ça
La vue qui déchire la rétine
Une fois au sommet le pichet d'1L de cola est nécessaire !
Son petit frère d'un demi litre le suivra de près
Pichet de cola Suisse. 10 CHF le Litre.
Petite descente de 550m avec des pierres fuyantes et des rondins avant d'attaquer le long et superbe sentier à flanc de montagne. Chute interdite sous peine de rouler jusqu'au lac de Brienz.
Ça passe ou ça passe pas ?
La fin de la descente est moins exposée, mais tous aussi exigeante par endroit. Retour tranquille par la route.
Depuis le temps que je voulais la faire celle-là, j'ai pas été déçu.
Merci à mes compagnons de route
La trace pour les courageux :
Le reste des photos doit être dans cette direction
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