VTT-Alsace • Vélo tout terrain en Alsace

C’est l’histoire de pratiquants proposant bénévolement leur aide pour entretenir un sentier et faire de la sensibilisation qui se voit interdire un sentier en réponse...

http://mbf-france.fr/articlesentinelle/ ... NlkNcu9g4A

https://www.dna.fr/edition-mulhouse-tha ... nds-enjeux

Pour les abonnés

Le maire oubli de préciser qu'il n'a pas souhaité discuter autour de cette interdiction. Le fait d'invoquer la présence d'une piste forestière à coté du sentier monotrace montre combien ils ne comprennent rien au VTT. C'est épuisant.

EDIT : A noter la position peu claire du PnrBV avec une nouvelle fois cette idée qu'il faut interdire le VTT sur les sentiers fragiles.

Sentier fragile , le terme fragile à bon dos .
Les problèmes remonter ces derniers temps annoncent une année 2020 compliqué , la cohabitation vttistes , marcheurs va encore se détériorer .
Quand à nos élus no comment et que dire des pseudos agents assermenté qui n'ont aucune connaissance juridique

Le mal est fait avec cette charte , le flou est entré dans la tête des gens , des élus qui écoutent toujours les mêmes .

Je n'ai pas envie d'aller faire du vélo dans des zones réservées comme avec le Holandsbourg ou tout autre bike Park .

Oui, clairement l'année 2020 va être compliquée. Les discussions se tendent de partout et on fait au mieux pour ne pas rompre le dialogue tout en faisant preuve de fermeté pour ne plus se faire balader. C'est complexe... et on voit bien qu'on fait chier tout le monde avec notre histoire de sentiers partagés. On demande à être respecté donc on devient un problème, c'est aussi simple que ça.

On observe une forme d'entente entre certains groupes de vététistes ou acteur VTT autour du deal sentiers dédiés en échange des sentiers partagés, ce qui arrange une partie des tiers avec lesquels on doit composer.

Mais c'est un pari très risqué qui pourrait s'avérer perdant pour la grande masse des vététistes. Le problème, c'est que cette grande masse est infiniment plus silencieuse que les partisans des sentiers dédiés. Ce qui ajoute à la complexité c'est que le solution n'est pas binaire, elle repose sur un mixte de sentiers partagés par défaut, d'interdictions fondées et d'installations dédiées. C'est aussi la solution la plus exigeante et donc la moins explorée. Elle n'est pas politiquement rentable, elle coûte potentiellement du temps et de l'argent.

Si je n'avais que ça à faire de mes journées, je travaillerais volontiers sur un genre de kit de campagne pour les sentiers partagés que chaque vététistes, traileurs, cavalier et piétons ouvert d'esprit pourrait partager aux candidats aux municipales dans les vallées.

bite de clown a écrit : ↑lun. 16 déc. 2019 17:42 Je n'ai pas envie d'aller faire du vélo dans des zones réservées comme avec le Holandsbourg ou tout autre bike Park .

Hello,

Il n'y a aucune zone réservée au Hohlandsbourg !? ou je ne suis carrément pas au courrant !
et celà n'a pas vocation à devenir un Bikepark.

les sentiers y sont partagés à 100%, et il est aucunement question de les interdire au vélo.

Je me suis mal exprimé
Je n'ai pas envie de rouler là où tout le monde se rend .
Bikepark non mais alors pourquoi y donner des noms à certains endroits

Tout simplement pour qu'on puisse se localiser ! Tous les trails ou sentier ont un nom.

On pense qu'il devrait y avoir des HBA ou autre sur chaque massif, et que chaque vttistes devrai y adhérer un max. Car ce n’est pas que de l'entretien ou des sentiers descendant dédié mais aussi un regroupement de la communauté.

Il y 1 million de licenciés à la chasse, pour 120 000 à la FFC. Le CV regroupe 120 associations pour 37 000 membres......

Si on veut avancer réellement il faut s'unir. Car les 20 dernières années de pratique vtt non structurée et non implantée dans le décor on est en train de le payer cher !

On est totalement d'accord sur la nécessité de s'unir et de s'organise

Les associations et clubs locaux peuvent se joindre à l'antenne en adhérent à la MBF (sans rien perdre de leurs capacités d'initiative) pour structurer le réseau des initiatives locales à l'échelle du massif et à l'échelle nationale.

Vu de loin, on a parfois le sentiment d'initiatives pas coordonnées voir concurrentes alimentant le faux débat sentiers dédiés vs. sentiers partagés et/ou le très très local vs. massif. Pour s'unir faut se mettre bien au clair là-dessus. Certains de nos contradicteurs en jouent (notamment ac certains MCF).

Il doit clairement y'avoir un continuum d’intérêt communs entre les fédérations nationales (FFC, FFVélo, UFOLEP), leurs représentations locales (régionales, départementales), les clubs (fédérés ou non) et les associations de vététistes qu'elles soient liées à un lieu de pratiques ou non.

Si on prend le cas de Bitschwiller dont on parle ici, les bénévoles à l'initiative de la proposition du chantier d'entretien et qui ont obtenu en retour une interdiction sont bien des vététistes locaux. Ils ont fait les choses correctement.

La seule "erreur" qui n'en est pas une c'est d'avoir voulu intervenir officiellement sur un sentier partagé pour prévenir l'usure engendrée entre autre par les VTT.

je suis 100% d'accord qu'il faut agir sans demandé dans un premier temps. Personne ne verbalisera quelqu'un qui entretien un sentier. (toujours avoir en tete que c'est un sentier pédestre et non VTT). Perso , jamais fais de demande officielle.