Départ donc à 9h00, direction lycée du Pflixbourg. Mon objectif avoué est certes le Hohlandsbourg, comme première étape, mais également et surtout le Stauffen.
J’attaque donc la montée au-dessus du lycée, en direction du Rocher de Ehrbergkopf... outch (!), dès la première portion, je suis dans le rouge : ça grimpe sec ! La suite sera plus sympa et gérable jusqu’à un Hohlandsbourg désert...
Après une pause photos, je m’engage vers le sentier de l’écureuil, direction le Rocher Turenne et le Stauffen que j’attaque par le versant sud afin de profiter un maximum du soleil qui se montre enfin. Ça grimpe et le terrain est désormais enneigé. Génial ! Une fois la tête du Stauffen atteinte (bordel, j’en ai chié !), je profite du panorama qui s’offre à moi...
Une barre de céréales et un coup de flotte plus tard, c’est la descente vers Soultzbach. Je me frotte aux épingles et... ça pique. Plus d’une fois je me fais peur (euphémisme). Arrivé au Stumpfenkopf, ayant lu en ces pages un rapport de Sergio, je change de programme et vire à droite en direction de Whir-au-Val gare... bien mal m’en a pris : les épingles s’enchaînent, je m’y attendais, c’est bien sympa parce que ça me contraint à bosser mes positions sur le vélo ; le problème c’est que le terrain est à l’hivernage et que les feuilles mortes transforment le sentier en dévers en une petite patinoire vicieuse. Je gère.
Une fois à Whir, je retrouve le soleil, direction Walbach et Zimmerbach par le haut du village. Au total, ce sera 25 kilomètres de plaisir.
Bravo pour ce premier récit, très réussi ! 
Single track mind ♪ ♫
(Nose turn et compagnie)
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Mais c’est pas grave, ça fait les cuisses et de l’expérience. J’essaierai une autre montée la prochaine fois.
